Analyse pour The Conversation parue le 8 décembre 2021.
Nul doute que les plates-formes en ligne constituent des espaces d’engagement civique et d’expression politique, plus particulièrement chez les jeunes. Les médias sociaux et les sous-cultures qu’elles renforcent remplissent une fonction non seulement d’organisation et de recrutement, mais aussi d’espace d’éducation et de socialisation politique pour adolescents et jeunes adultes.
Pour diffuser leurs idées, aux États-Unis comme en France, les influenceurs de la droite alternative « alt-right » se sont, sans surprise, approprié la grammaire et les gabarits prédéfinis de YouTube, Instagram ou TikTok.
Le terme alt-right est complexe à définir. Il peut être compris comme un terme générique désignant une coalition d’activistes en ligne opérant principalement dans les pays anglophones. Dans la recherche, l’alt-right est considérée comme une alliance englobant la culture de trolls en ligne, la mouvance masculiniste et les identitaires, avec des variations significatives des influences et des pratiques.
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